samedi 3 avril 2010

La violence faite aux veuves au Congo


Maltraitance physique, verbale et psychologique, depossession des biens tel est le sort de plusieurs veuves au Congo.
Une pratique brisée dans les familles Congolaises qui n'interpelle pas les autorités compétentes.

Amelie ITOUA, 40 ans et deux enfants à charge  a été confronté il y a trois mois à cette pratique:<>.
Amelie n'est pas la seule à subir ce sort malheuseument.
Plusieurs femme
Maltraitance physique, verbale et psychologique, depossession des biens tel est le sort de plusieurs veuves au Congo.
Une pratique brisée dans les familles Congolaises qui n'interpelle pas les autorités compétentes.

Amelie ITOUA, 40 ans et deux enfants à charge  a été confronté il y a trois mois à cette pratique:<>.
Amelie n'est pas la seule à subir ce sort malheuseument.
Plusieurs femmes congolaises se retrouvent du jour au lendemain expulsée de leur foyer par la belle famille.
Edith TATI, la trentaine est tombée des nues le jour de l'enterrement de son mari:
Sur dix veuves, sept au moins subissent ces maltaitences et le comble c'est que ce sont des femmes qui font subir ce tratement à leurs semblables.

Du côté du ministère de la femme, la personne chargée de la question n'a pas voulue répondre.
 Au ministère de la justice, monsieur Jean a expliqué qu'il n'ya pas de législation spécifique aux violences liées au veuvage, mais qu'il ya une loi qui condamne les maltritance en général.

Des pratiques qui ont interpellé les associations telles que Azur  développemnt, femmes solidaires, ACOLVEF...qui ont suggeré que l'Etat prenne ses responsabilités en votant une loi sur les violences faites à l'égard de la veuve.
La tâche des ONG est de sensibiliser les femmes à connaître leurs droits et impliquer les institutions rélgieuses à lutter contre le poids de la tradition.
s congolaises se retrouvent du jour au lendemain expulsée de leur foyer par la belle famille.
Edith TATI, la trentaine est tombée des nues le jour de l'enterrement de son mari:<>.
Sur dix veuves, sept au moins subissent ces maltaitences et le comble c'est que ce sont des femmes qui font subir ce tratement à leurs semblables.

Du côté du ministère de la femme, la personne chargée de la question n'a pas voulue répondre.
 Au ministère de la justice, monsieur Jean a expliqué qu'il n'ya pas de législation spécifique aux violences liées au veuvage, mais qu'il ya une loi qui condamne les maltritance en général.

Des pratiques qui ont interpellé les associations telles que Azur  développemnt, femmes solidaires, ACOLVEF...qui ont suggeré que l'Etat prenne ses responsabilités en votant une loi sur les violences faites à l'égard de la veuve.
La tâche des ONG est de sensibiliser les femmes à connaître leurs droits et impliquer les institutions rélgieuses à lutter contre le poids de la tradition.

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